Ma voisine m’a demandé de garder sa fille et je ne l’ai pas vue pendant les douze années suivantes.
Mon mari et moi n’avons pas pu avoir d’enfants, et c’était mon plus grand regret. j’aimais les bébéset la première fois que j’ai vu Ellen, c’était dans les escaliers avec un nouveau-né dans les bras.
J’ai commencé à discuter avec elle et elle m’a dit qu’elle venait d’emménager avec son bébé, Daisy, et que son mari Victor était dans l’armée et en poste au Moyen-Orient. Je l’aimais bien, elle était gentille. Je n’ai jamais imaginé qui elle était vraiment.
Ellen et moi sommes devenus amis ainsi que voisins, et elle déposait souvent Daisy lorsqu’elle avait des courses à faire. J’adore ça, j’ai adoré Daisy. Elle était le bébé le plus doux et le plus adorable.
Environ un an après avoir rencontré Ellen, elle est arrivée en milieu d’après-midi, bouleversée. Elle m’a dit qu’elle avait reçu un appel d’un des amis de son mari Jed lui disant qu’il avait été blessé.
Ellen m’a dit qu’elle devait aller parler à l’ancien commandant de Jed qui avait encore beaucoup de relations dans le département et qui pourrait lui dire ce qui se passait. Elle m’a supplié de prendre soin de Daisy, et bien sûr j’ai accepté.
J’ai nourri Daisy, changé sa couche et l’ai couchée pour une sieste. Quand elle s’est réveillée, j’ai tout recommencé, et avant que je m’en rende compte, mon mari était à la maison. Il était 9 h 30 et Ellen n’était toujours pas rentrée.
Je l’ai appelée sur son téléphone, mais l’appel est allé directement sur la messagerie vocale. J’ai pensé qu’elle avait peut-être de mauvaises nouvelles de Jed, alors je suis allé à son appartement et j’ai frappé à la porte. Il n’y avait pas de réponse, alors je suis rentré chez moi.
Le lendemain matin, j’ai rappelé Ellen et j’ai frappé à sa porte. J’étais vraiment inquiète maintenant, alors j’ai appelé la police et déposé un rapport de personne disparue. J’ai expliqué qu’Ellen avait laissé sa fille à mes soins et n’était pas revenue.
La police a ouvert la porte de l’appartement d’Ellen pour constater que tous ses vêtements et effets personnels avaient disparu, et tout ce qu’elle avait laissé derrière elle étaient les petits vêtements et les jouets de Daisy. .
J’étais horrifié. Ellen avait abandonné sa petite fille. Daisy avait maintenant un an, assez pour manquer à sa mère et avoir peur des étrangers. Lorsque les services sociaux sont venus me voir, j’ai demandé à être considéré comme famille d’accueil.
Comme mon mari est pompier, ils ont accepté et Daisy est restée avec nous. Nous avons appris qu’Ellen n’avait pas de mari et que Jed n’existait pas. C’était une arnaqueuse qui avait trouvé un moyen de se débarrasser de son bébé et de passer à autre chose.
Trois ans plus tard, mon mari et moi avons adopté Daisy. Elle a grandi en sachant qu’elle avait été adoptée, mais cela ne semblait pas du tout l’inquiéter. Elle est la prunelle des yeux de mon mari, et j’avoue que je la gâte plus qu’un peu.
C’est l’amour, pas la biologie, qui fait une famille.
En vieillissant, j’ai cessé de m’inquiéter qu’Ellen se présente un jour, et quand Daisy a eu 10 ans, j’ai presque oublié qu’elle avait une mère. Mais j’ai eu un choc.
Trois mois après le 12e anniversaire de Daisy, quelqu’un a frappé à la porte. J’ouvris et me retrouvai nez à nez avec Ellen. Elle avait l’air plus âgée et plus lourde, bien loin de la femme mince que j’avais connue.
« Fran, » dit-elle avec un large sourire. « Bonjour! Je suis venu chercher Daisy. » Je ne pouvais pas y croire. On aurait dit qu’elle venait de déposer sa fille il y a deux heures, pas onze ans.
Je l’ai regardée et je pense que ma bouche s’est ouverte. « Excuse-moi ? » J’ai haleté. « Tu quoi ? »
Elle redressa les épaules et parut agressive. « Ma fille, ma marguerite. Où est-elle ?
« Daisy est à l’école. Et ce n’est plus ta fille. Nous l’avons adoptée il y a sept ans. »
QUOI ? » cria Ellen. « Tu as volé mon bébé ?
« Tu as abandonné ton bébé, Ellen, alors le tribunal a mis fin à tes droits parentaux et nous l’avons adoptée. C’était tout à fait légal, je t’assure. »
« Ce n’est pas fini », a crié Ellen. « Je veux mon bébé ! »
À ce moment-là, Daisy est sortie de l’ascenseur et a vu Ellen devant notre porte. Elle s’est approchée avec sa sacoche en bandoulière, ses chaussettes glissant, et j’étais pétrifiée à l’idée de la perdre.
Ellen m’a vu regarder par-dessus son épaule et s’est retournée. « Mon bébé! » cria-t-elle en tendant les bras à Daisy, des larmes coulant instantanément sur ses joues. « C’est moi ! Ta mère… »
Ma marguerite lui lança un regard froid et se décida immédiatement. « Je suis désolée, madame, » dit-elle. « Tu dois me confondre avec un autre enfant. »
« Oh mon bébé, » sanglota Ellen, « je t’ai laissé avec ces gens et ils t’ont volé! Je te cherche depuis 10 ans… »
Daisy renifla le même reniflement qui m’irritait le plus d’habitude. « Eh bien, vous n’avez pas dû chercher très fort. Mes parents vivent ici depuis 20 ans. »
Tu n’es pas ma mère. » | Source : Unsplash
Ellen hésita et continua. « Ils t’ont enlevé, mais maintenant je suis de retour. Viens voir maman… »
Marguerite la fixa. « Madame, prenez une pilule, » dit-elle. « Tu n’es pas ma mère. » Elle s’avança et passa son bras autour de moi. « C’est ma mère, alors dégage ! »
« Je vais à la police ! Ellen a crié : « J’ai des droits, tu entends ? DES DROITS ! »
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Daisy haussa les épaules et roula des yeux. « Pas grave ! » dit-elle en se tournant vers moi. « Hé maman, tu veux un en-cas ? Je meurs de faim ! »
Nous sommes entrés et j’ai claqué la porte au nez d’Ellen. On ne l’a plus jamais revue, et bon débarras des bad trash comme dirait Daisy.
Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?
1. L’amour, pas la biologie, est ce qui fait une famille.
2. Vous ne pouvez pas revenir dans la vie des gens et vous attendre à être accueilli après les avoir abandonnés..
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UN JEUNE VOLE DE L’ARGENT DANS LE SAC DE LA MÈRE
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Cette histoire est inspirée de l’histoire d’un de nos lecteurs et écrite par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est purement fortuite. Toutes les images sont utilisées à des fins d’illustration uniquement. Partagez votre histoire avec nous; peut-être que cela changera la vie de quelqu’un. Si vous souhaitez partager votre histoire, écrivez-nous à info@amomama.com.